Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
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erik
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Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
Un Article sympa ici:
https://tokyo2020.org/fr/actu/brian-baudouin-l-hypnose-pour-aller-aux-jo
https://tokyo2020.org/fr/actu/brian-baudouin-l-hypnose-pour-aller-aux-jo
erik- Membre Actif
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Re: Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
La sophrologie comme le yoga et pourquoi pas l hyptnose apportent c est évident des plus au haut niveau avec nos HN. A l epoque F Badiou travaillait les sensations et position sous l eau en piscine....en maillot bien sur ..masque....en apnée !! Pour nous amateurs nationaux rien ne nous empêche. d essayer ....
Air Force- Membre
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Pays : FRANCE
Re: Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
....suite.. à méditer et texte à conserver =
Dans la presse en 92 interview de F Badiou ,faute de video sous l'eau( qui existe je crois..) =
Lundi, 14 Décembre, 1992
IL S'EN TIRE BIEN
D'ABORD, il ouvre une longue valise beige, la déploie, la découvre. Puis, avec la précision d'un orfèvre, redonne deux-trois coups de mini-clés pour réajuster la visée, comme si l'instant du tir allait survenir dans la minute. Enfin, tout en parlant, il époussette le canon avec un chiffon, vérifie du doigt la légèreté de la gâchette, caresse la crosse avec tact. Gestes importants, gestes naturels. Presque un rite. Franck Badiou, médaillé d'argent aux derniers jeux Olympiques de Barcelone au tir à 10 mètres, entretient des rapports intimes avec sa carabine. Même quand il doit, tôt le matin dans les stands de tir de l'Institut national du sport (INSEP), s'adonner à sa passion favorite malgré les premiers froids de l'hiver.
Son passé de «sociétaire» de l'INSEP confère à ce prof de sport une réputation de joyeux luron («Je n'étais pas un élève très assidu parce que je ne pensais qu'au tir»), mais aussi celle d'un sportif intransigeant, sachant faire de bons choix au bon moment («Je faisais tout pour avoir mes diplômes, même si c'était juste»). Champion du monde par équipes, vice-champion d'Europe, dixième aux Jeux de Séoul et, donc, médaille d'argent en août dernier, Franck Badiou ne considère pourtant pas cette dernière performance comme un «aboutissement». A vingt-cinq ans, malgré ce palmarès déjà très fourni, il a d'ores et déjà choisi de «pousser jusqu'à Atlanta» pour réaliser quelque chose de «rare», comme il dit. Cela ne l'empêche pas de se pencher sur sa discipline.
LE CHOIX.
«Le tir, quand j'étais gamin, je ne connaissais pas du tout. En fait, c'est un ami d'école qui n'arrêtait pas de me parler de ça dès qu'on avait un moment de libre. Il pratiquait la vitesse olympique au pistolet. Alors, un jour, je l'ai suivi sur un pas de tir et j'ai été conquis tout de suite. Pour la discipline, à quatorze ans, j'étais déjà un vieux. D'autres commencent beaucoup plus jeune, vers huit ou neuf ans. Je me souviens de la première fois. Je me suis pointé dans un stand à Villeneuve-Saint-Georges. Et les responsables, d'entrée, m'ont demandé quelle arme je souhaitais utiliser. Ce fut très clair: même si j'avais les capacités physiques pour brandir un pistolet, j'ai choisi la carabine. Parce que cela représentait pour moi l'aboutissement complet au niveau de la précision.»
LES QUALITES.
«Je crois d'abord qu'il faut avoir une certaine habileté. Une bonne coordination motrice liée à la vision et à l'habileté, qui découle de la visée elle-même. Si je regarde tous ceux qui ont bien figuré aux Jeux, ce sont des gens qui possèdent des qualités naturelles évidentes, certes, mais qui par ailleurs mettent à profit une masse de travail pour rendre intelligentes ces qualités pures. Ça veut dire beaucoup d'entraînement, de course à pied. Mais ça veut dire aussi vingt, vingt-cinq, trente heures par semaine consacrées à «penser au tir» et à la façon de l'aborder. Une question de philosophie générale.»
LE MENTAL.
«Savoir se mettre dans un coin, seul, et faire une préparation mentale, psychologique, pour entretenir l'acquis de la quantité d'entraînement. Cela peut paraître anodin, mais c'est parfois essentiel. Pourtant, il faut faire attention à ce qu'on fait. Pour des disciplines qui demandent une excellente aptitude à la concentration, beaucoup font appel à des sophrologues, à du yoga, et je ne sais quoi encore... Je n'ai rien contre ces méthodes en vogue, mais elles servent au départ à décloisonner les athlètes d'angoisses intérieures. Mais, à l'arrivée, c'est l'inverse qui se produit. Car la sophrologie crée aussi une sorte de conditionnement. On avait un DTN qui avait justement cherché de ce côté-là afin de nous aider pour les compétitions ou les entraînements. Finalement, il s'est rendu compte que la sophrologie devenait une dépendance. Et l'athlète de haut niveau, qui doit être avant tout autonome, devenait complètement accro. Comme un asservissement au sophrologue, au gourou, au préparateur mental... Il faut optimiser ce qu'on possède en nous, de très profond. Ça suffit.»
CALME OU EXCITE?
«Il y a de tout chez les tireurs, contrairement à ce qu'on croit. Quand on voit le Yougoslave qui vient récemment de battre un record du monde, ce gars-là a tous les symptômes d'un hypernerveux. Il est braque, vif. Il a même des tics nerveux. Ce n'est donc pas le type qui respire la sérénité. L'important, c'est de savoir trouver la sérénité au bon moment. Moi, tous les matches où j'ai bien tiré, ce fut toujours à des moments où j'étais à un niveau d'éveil important, sans parler d'agressivité. En tout cas, intérieurement, ce n'était pas propice à de la grande stabilité. Simplement, j'avais la volonté de river ma carabine sur la cible pour que le coup parte au centre. On est tenté de dire: «Calme toi, décontracte toi, soit cool.» Mais, au niveau de l'éveil mental, on a tendance à s'assoupir. Il vaut mieux avoir le maximum de lucidité et de vigilance au niveau intellectuel pour palier éventuellement un manque de stabilité que l'inverse.»
PLACEMENT.
«Chaque tireur a son propre positionnement. La construction de cette position, qui doit générer un minimum de tenue au niveau du coup, doit être orientée comme une statue qu'on ferait tourner sur un socle pour l'orienter en face de la cible. On a un schéma interne qu'on construit avant d'arrivée sur le pas de tir. Ensuite on s'occupe de le replacer, bien qu'on ne réalise jamais le même geste. Bien sûr, qui dit «statue», dit stabilité. Tout cela se travaille diversement. D'abord sans une partie de l'équipement rigide, sans veste, sans pantalon, sans chaussures. Puis dans l'eau, en totale apnée. Ou encore les yeux fermés, sans se référer à la cible. Parce que, justement, si on cherche à construire quelque chose de fort, intérieurement, il faut éliminer toutes les sollicitations extérieures. Pour générer une grande stabilité, il faut alors oublier la cible. Ça peut paraître incroyable, mais c'est ainsi.»
«FAIRE» UNE CARABINE.
«La carabine à 10 m, c'est la discipline la plus démocratique parce que le matériel n'est pas un facteur vraiment primordial. Cela tient à la distance, à la taille du carton, du plomb. La qualité de fabrication fait que le premier tireur venu peut acheter une bonne carabine dans une armurerie et devenir champion olympique le lendemain. Au moins au niveau de la précision. Après, évidemment, au niveau de la mise au point et de la capacité à réaliser des gestes parfaits sur la durée, il y a beaucoup de choses qui entrent en ligne de compte. En équipe de France, on a un armurier qui reste en permanence en relation avec le manufacturier d'armes et, souvent, il y a des solutions techniques qui interviennent après des entretiens entre eux. La carabine que j'utilise depuis quatre ans a d'ailleurs entièrement été réalisée sur mesure. La crosse, la détente, la taille générale, tout! Il n'y a que le mécanisme qui est traditionnel. Pour tout dire, la première fois que je l'ai eue dans les mains, elle ne ressemblait pas du tout à ce qu'elle est aujourd'hui. Elle n'arrête pas d'évoluer, à ma demande. Un millimètre en moins par ci, un autre de plus par là. Un poids d'un gramme plus lourd en tête de canon, pratiquement rien! C'est l'expérience qui fait la différence.»
Jean-Emmanuel Ducoin
Dans la presse en 92 interview de F Badiou ,faute de video sous l'eau( qui existe je crois..) =
Lundi, 14 Décembre, 1992
IL S'EN TIRE BIEN
D'ABORD, il ouvre une longue valise beige, la déploie, la découvre. Puis, avec la précision d'un orfèvre, redonne deux-trois coups de mini-clés pour réajuster la visée, comme si l'instant du tir allait survenir dans la minute. Enfin, tout en parlant, il époussette le canon avec un chiffon, vérifie du doigt la légèreté de la gâchette, caresse la crosse avec tact. Gestes importants, gestes naturels. Presque un rite. Franck Badiou, médaillé d'argent aux derniers jeux Olympiques de Barcelone au tir à 10 mètres, entretient des rapports intimes avec sa carabine. Même quand il doit, tôt le matin dans les stands de tir de l'Institut national du sport (INSEP), s'adonner à sa passion favorite malgré les premiers froids de l'hiver.
Son passé de «sociétaire» de l'INSEP confère à ce prof de sport une réputation de joyeux luron («Je n'étais pas un élève très assidu parce que je ne pensais qu'au tir»), mais aussi celle d'un sportif intransigeant, sachant faire de bons choix au bon moment («Je faisais tout pour avoir mes diplômes, même si c'était juste»). Champion du monde par équipes, vice-champion d'Europe, dixième aux Jeux de Séoul et, donc, médaille d'argent en août dernier, Franck Badiou ne considère pourtant pas cette dernière performance comme un «aboutissement». A vingt-cinq ans, malgré ce palmarès déjà très fourni, il a d'ores et déjà choisi de «pousser jusqu'à Atlanta» pour réaliser quelque chose de «rare», comme il dit. Cela ne l'empêche pas de se pencher sur sa discipline.
LE CHOIX.
«Le tir, quand j'étais gamin, je ne connaissais pas du tout. En fait, c'est un ami d'école qui n'arrêtait pas de me parler de ça dès qu'on avait un moment de libre. Il pratiquait la vitesse olympique au pistolet. Alors, un jour, je l'ai suivi sur un pas de tir et j'ai été conquis tout de suite. Pour la discipline, à quatorze ans, j'étais déjà un vieux. D'autres commencent beaucoup plus jeune, vers huit ou neuf ans. Je me souviens de la première fois. Je me suis pointé dans un stand à Villeneuve-Saint-Georges. Et les responsables, d'entrée, m'ont demandé quelle arme je souhaitais utiliser. Ce fut très clair: même si j'avais les capacités physiques pour brandir un pistolet, j'ai choisi la carabine. Parce que cela représentait pour moi l'aboutissement complet au niveau de la précision.»
LES QUALITES.
«Je crois d'abord qu'il faut avoir une certaine habileté. Une bonne coordination motrice liée à la vision et à l'habileté, qui découle de la visée elle-même. Si je regarde tous ceux qui ont bien figuré aux Jeux, ce sont des gens qui possèdent des qualités naturelles évidentes, certes, mais qui par ailleurs mettent à profit une masse de travail pour rendre intelligentes ces qualités pures. Ça veut dire beaucoup d'entraînement, de course à pied. Mais ça veut dire aussi vingt, vingt-cinq, trente heures par semaine consacrées à «penser au tir» et à la façon de l'aborder. Une question de philosophie générale.»
LE MENTAL.
«Savoir se mettre dans un coin, seul, et faire une préparation mentale, psychologique, pour entretenir l'acquis de la quantité d'entraînement. Cela peut paraître anodin, mais c'est parfois essentiel. Pourtant, il faut faire attention à ce qu'on fait. Pour des disciplines qui demandent une excellente aptitude à la concentration, beaucoup font appel à des sophrologues, à du yoga, et je ne sais quoi encore... Je n'ai rien contre ces méthodes en vogue, mais elles servent au départ à décloisonner les athlètes d'angoisses intérieures. Mais, à l'arrivée, c'est l'inverse qui se produit. Car la sophrologie crée aussi une sorte de conditionnement. On avait un DTN qui avait justement cherché de ce côté-là afin de nous aider pour les compétitions ou les entraînements. Finalement, il s'est rendu compte que la sophrologie devenait une dépendance. Et l'athlète de haut niveau, qui doit être avant tout autonome, devenait complètement accro. Comme un asservissement au sophrologue, au gourou, au préparateur mental... Il faut optimiser ce qu'on possède en nous, de très profond. Ça suffit.»
CALME OU EXCITE?
«Il y a de tout chez les tireurs, contrairement à ce qu'on croit. Quand on voit le Yougoslave qui vient récemment de battre un record du monde, ce gars-là a tous les symptômes d'un hypernerveux. Il est braque, vif. Il a même des tics nerveux. Ce n'est donc pas le type qui respire la sérénité. L'important, c'est de savoir trouver la sérénité au bon moment. Moi, tous les matches où j'ai bien tiré, ce fut toujours à des moments où j'étais à un niveau d'éveil important, sans parler d'agressivité. En tout cas, intérieurement, ce n'était pas propice à de la grande stabilité. Simplement, j'avais la volonté de river ma carabine sur la cible pour que le coup parte au centre. On est tenté de dire: «Calme toi, décontracte toi, soit cool.» Mais, au niveau de l'éveil mental, on a tendance à s'assoupir. Il vaut mieux avoir le maximum de lucidité et de vigilance au niveau intellectuel pour palier éventuellement un manque de stabilité que l'inverse.»
PLACEMENT.
«Chaque tireur a son propre positionnement. La construction de cette position, qui doit générer un minimum de tenue au niveau du coup, doit être orientée comme une statue qu'on ferait tourner sur un socle pour l'orienter en face de la cible. On a un schéma interne qu'on construit avant d'arrivée sur le pas de tir. Ensuite on s'occupe de le replacer, bien qu'on ne réalise jamais le même geste. Bien sûr, qui dit «statue», dit stabilité. Tout cela se travaille diversement. D'abord sans une partie de l'équipement rigide, sans veste, sans pantalon, sans chaussures. Puis dans l'eau, en totale apnée. Ou encore les yeux fermés, sans se référer à la cible. Parce que, justement, si on cherche à construire quelque chose de fort, intérieurement, il faut éliminer toutes les sollicitations extérieures. Pour générer une grande stabilité, il faut alors oublier la cible. Ça peut paraître incroyable, mais c'est ainsi.»
«FAIRE» UNE CARABINE.
«La carabine à 10 m, c'est la discipline la plus démocratique parce que le matériel n'est pas un facteur vraiment primordial. Cela tient à la distance, à la taille du carton, du plomb. La qualité de fabrication fait que le premier tireur venu peut acheter une bonne carabine dans une armurerie et devenir champion olympique le lendemain. Au moins au niveau de la précision. Après, évidemment, au niveau de la mise au point et de la capacité à réaliser des gestes parfaits sur la durée, il y a beaucoup de choses qui entrent en ligne de compte. En équipe de France, on a un armurier qui reste en permanence en relation avec le manufacturier d'armes et, souvent, il y a des solutions techniques qui interviennent après des entretiens entre eux. La carabine que j'utilise depuis quatre ans a d'ailleurs entièrement été réalisée sur mesure. La crosse, la détente, la taille générale, tout! Il n'y a que le mécanisme qui est traditionnel. Pour tout dire, la première fois que je l'ai eue dans les mains, elle ne ressemblait pas du tout à ce qu'elle est aujourd'hui. Elle n'arrête pas d'évoluer, à ma demande. Un millimètre en moins par ci, un autre de plus par là. Un poids d'un gramme plus lourd en tête de canon, pratiquement rien! C'est l'expérience qui fait la différence.»
Jean-Emmanuel Ducoin
Air Force- Membre
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Pays : FRANCE
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Re: Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
ce qui est sur c'est que c'est un tres bon tireur
et un tres bon gamins
et un tres bon gamins
titus- Membre Initié
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Re: Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
Un bon gars et excellent tireur , c'est vrai !!! Présent aux ch d'europe en Croatie cette semaine souhaitons lui bonne chance , il mériterait d'être à Tokyo.. !!
Air Force- Membre
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Re: Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
Le GESTE PARFAIT ..!
Video de B Baudouin à visionner.. =
https://www.sportenfrance.com/programme/le-geste-parfait-124/
Video de B Baudouin à visionner.. =
https://www.sportenfrance.com/programme/le-geste-parfait-124/
Air Force- Membre
- Nombre de messages : 16217
Inscription le : 13/09/2008
Pays : FRANCE
Re: Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
Ce qui est marrant dans l'interview de F. Badiou, forte intéressante par ailleurs, c'est le passage :"
«La carabine à 10 m, c'est la discipline la plus démocratique parce que le matériel n'est pas un facteur vraiment primordial. Cela tient à la distance, à la taille du carton, du plomb. La qualité de fabrication fait que le premier tireur venu peut acheter une bonne carabine dans une armurerie et devenir champion olympique le lendemain. Au moins au niveau de la précision".
Quand on sait actuellement l'impact de l'équipement veste et pantalon sur les scores
«La carabine à 10 m, c'est la discipline la plus démocratique parce que le matériel n'est pas un facteur vraiment primordial. Cela tient à la distance, à la taille du carton, du plomb. La qualité de fabrication fait que le premier tireur venu peut acheter une bonne carabine dans une armurerie et devenir champion olympique le lendemain. Au moins au niveau de la précision".
Quand on sait actuellement l'impact de l'équipement veste et pantalon sur les scores
Le Glaude- Membre Senior
- Nombre de messages : 467
Inscription le : 16/02/2020
Pays : France
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Re: Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
Bonjours à tous .
F Badiou , tireur hors normes, tous ceux qui l’ont connu en attestent et admirent . Par contre, depuis l’apparition des dixièmes le matériel a pris une telle importance que ce n’est plus démocratique mais élitiste et la part du tireur dans tout cela ?
À Tarbes , nous avons l’impression que c’est Capapie qui a gagné ….avec un tireur presque interchangeable dans la tenue .Dommage
F Badiou , tireur hors normes, tous ceux qui l’ont connu en attestent et admirent . Par contre, depuis l’apparition des dixièmes le matériel a pris une telle importance que ce n’est plus démocratique mais élitiste et la part du tireur dans tout cela ?
À Tarbes , nous avons l’impression que c’est Capapie qui a gagné ….avec un tireur presque interchangeable dans la tenue .Dommage
biljp- Membre Senior
- Nombre de messages : 450
Inscription le : 19/02/2019
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Re: Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
Pour moi badiou, dans l'esprit, dans son approche de la discipline tant spirituellement, philosophiquement que techniquement, c'est le maître jedi. Le plus grand
jason bourne- Membre Actif
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Inscription le : 01/11/2008
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Re: Brian Baudouin, l’hypnose pour aller aux JO
Bonjour,
Yves Delnord a été l'initiateur de la philosopie et la technique dont nous profitons aujourd'hui.
Jean-Pierre Amat et Franck Badiou entre autres, restent des exemples, et ont porté et cultivé avantageusement cette connaissance.
Cordialement,
Yves Delnord a été l'initiateur de la philosopie et la technique dont nous profitons aujourd'hui.
Jean-Pierre Amat et Franck Badiou entre autres, restent des exemples, et ont porté et cultivé avantageusement cette connaissance.
Cordialement,
Strike- Membre Actif
- Nombre de messages : 527
Inscription le : 13/10/2008
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