problèmes pour les jo ??????

cromagnon 07 a écrit:hello
après toutes ces réactions sur ce sujet et sans parler du COJO il ne semble pas indiqué quelque part que l'état a quand meme subventionné ces installations a hauteur de 9millions d'euro (c'est de l'argent pubic) et il me semble a tors ou a raison que la FTT serait quand meme bien gonflée d 'en vouloir un peu trop surtout avec tout l'argent que ça coute a tout les licenciés du pays donc je peux me tromper mais a mon avis l'état a mis un coup de semonce dans la gabégie de la FFT tir et je trouve normal qu'il demande un retour d'investissement de la part de la fédé
après aux alentours de ces installations il y' a des hoteliers,restaurateurs et des transporteurs qui ne demandent qu'a travailler
bon ce n'est que mon avis

Tir
JO 2024
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JO 2024 : la Fédération française de tir chahutée sur l'organisation des épreuves à Châteauroux
L'organisation des épreuves de tir des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 au Centre national de tir sportif de Châteauroux-Déols provoque depuis plusieurs mois des remous au sein de la Fédération française de tir.

Le Centre national de tir sportif de Châteauroux-Déols va accueillir les épreuves de tir lors des JO 2024. (E. Garnier/L'Équipe)
Marc Ventouillac (avec R.P.)mis à jour le 18 octobre 2022 à 13h05
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L'atterrissage des épreuves de tir à Châteauroux (Indre), actée le 12 juillet dernier par le conseil d'administration de Paris 2024, n'en finit pas de créer des remous. Entamées bien avant que le Centre national de tir sportif (CNTS) de Châteauroux-Déols ne prenne officiellement la place du terrain des Essences de la Courneuve, les discussions entre les principaux intéressés se multiplient depuis quelques semaines. Non sans susciter leur lot d'interrogations, d'inquiétudes voire d'oppositions, en particulier au sein de la Fédération française de tir.
lire aussiLe casse-tête de l'hébergement
Deux principaux sujets alimentent les crispations : le montant de la location du CNTS demandé au comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques (COJO) et la construction de logements sur le site du centre dont la FFTir est propriétaire. « C'est le bazar total », résume un cadre de la Fédération sous couvert d'anonymat qui dénonce l' « opacité » des réunions fédérales et l'amateurisme du traitement des dossiers.
Une enveloppe jugée « insultante et inacceptable »
Côté location, on prêtait à la FFTir une première intention de facturer la mise à disposition du centre à Paris 2024 moyennant 17 M€, avant de redescendre à 12 M€ et de se voir proposer une enveloppe comprise entre 4,5 et 5,5 M€ par les acteurs des Jeux. De quoi provoquer la stupeur des administrateurs de la fédération, réunis en assemblée générale extraordinaire le 3 septembre, qui ont chahuté le président Michel Baczyk.
« La proposition de 5 M€, très éloignée du montant de 12 M€ voté à l'unanimité par le Comité directeur du 2 juillet 2022, a été jugée insultante et inacceptable », a d'ailleurs écrit le dirigeant à Tony Estanguet, patron de Paris 2024, dans une lettre datée du 8 septembre que nous avons pu consulter. « Je ne vous cache pas ma difficulté face à une AG souveraine qui ne souhaite pas que la FFTri soit traitée de cette façon alors qu'elle apporte la solution à moindre coût à Paris 2024 en pleine impasse sur le dossier », poursuit Michel Bascyk.
lire aussiPourquoi Châteauroux organisera les épreuves de tir aux JO 2024
« On va trouver un accord »
C'est pourtant bien l'enveloppe de 5 M€ qui a été retenue lors du premier comité de pilotage qui a réuni tous les acteurs du dossier, le 23 septembre à Châteauroux et lors d'une nouvelle réunion en comité resserré vendredi dernier. « Sur la partie financière, ils étaient un peu montés au cocotier, il a fallu les faire redescendre », souligne un participant. Plusieurs ligues de la FFTir sont encore vent debout contre cette décision. En pointant une économie de 30 M€ réalisée par Paris 2024 en ne construisant pas d'installations à La Courneuve, ils aimeraient un tiers de cette somme. À l'heure de la révision budgétaire du COJO, au menu du conseil d'administration du 12 décembre, cela semble mission impossible.
« On va trouver un accord », positive Michel Bascyk en soulignant que plusieurs réunions ont eu lieu depuis son courrier. Si « trois ou quatre ligues sont encore très remontées » (comprenez : souhaitent que le COJO débourse davantage pour occuper le CNTS), Michel Bascyk annonce que, d'ici à la prochaine assemblée générale de la Fédération, le 10 décembre, le « bon projet » sera accepté. « Tout le monde a la volonté d'organiser les meilleures épreuves à Châteauroux », assure le dirigeant.
« Après l'augmentation des licences de 14 € il y a quelques années (pour la construction du CNTS), on ne voudrait pas que ça retombe sur la tête des licenciés »
Un dirigeant

Cinq présidents de ligue ont pourtant écrit, lundi, au directeur de cabinet de la ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques pour réclamer des informations et le compte rendu du comité de pilotage du 23 septembre dernier. Avenue de France, siège du ministère, le mot d'ordre est à l'apaisement même si « on reste prudent et vigilant sur le dossier », nous dit-on. L'objectif n'est pas de mettre trop de pression sur la FFTir mais de lui rappeler l'enjeu d'accueillir les épreuves olympiques et paralympiques à l'été 2024 dans un climat serein.
lire aussiL'actu du tir
Car l'autre point chaud qui agite les présidents de ligues est celui de l'hébergement puisqu'il faut trouver 600 lits pour héberger les athlètes et le staff pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques. Le ministère estime que « trois quarts des couchages » sont sécurisés. La fédération a confirmé sa volonté de construire sur le site un hébergement comprenant quatre-vingts à cent chambres, soit cent soixante à deux cents lits, pour un montant de 10 M€.
« Le COJO a un plan B »
En interne, certains s'interrogent sur la capacité à construire un tel hébergement en dix mois, même avec des procédures accélérées, et évoquent le spectre de « l'éléphant blanc » si les chambres n'étaient pas occupées après les Jeux. « Après l'augmentation des licences de 14 € il y a quelques années (pour la construction du CNTS), on ne voudrait pas que ça retombe sur la tête des licenciés », explique un dirigeant qui évalue l'effort demandé entre 6 et 10 euros par licence.
La ville de Châteauroux s'est pour sa part engagée dans la réhabilitation des ailes d'une chapelle désacralisée pour y installer cinquante-trois logements et quatre-vingt-dix athlètes. « Il y a encore d'autres pistes et le COJO a un plan B », estime une source proche du dossier. Des bâtiments éphémères pourraient ainsi être aménagés sur le site du CNTS en cas de besoin. L'automne promet d'être chaud à Châteauroux.

phh a écrit:Bonjour.

L'article de l"Equipe" que j'évoquais plus haut :

Tir
JO 2024
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JO 2024 : la Fédération française de tir chahutée sur l'organisation des épreuves à Châteauroux
L'organisation des épreuves de tir des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 au Centre national de tir sportif de Châteauroux-Déols provoque depuis plusieurs mois des remous au sein de la Fédération française de tir.

Le Centre national de tir sportif de Châteauroux-Déols va accueillir les épreuves de tir lors des JO 2024. (E. Garnier/L'Équipe)
Marc Ventouillac (avec R.P.)mis à jour le 18 octobre 2022 à 13h05
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L'atterrissage des épreuves de tir à Châteauroux (Indre), actée le 12 juillet dernier par le conseil d'administration de Paris 2024, n'en finit pas de créer des remous. Entamées bien avant que le Centre national de tir sportif (CNTS) de Châteauroux-Déols ne prenne officiellement la place du terrain des Essences de la Courneuve, les discussions entre les principaux intéressés se multiplient depuis quelques semaines. Non sans susciter leur lot d'interrogations, d'inquiétudes voire d'oppositions, en particulier au sein de la Fédération française de tir.
lire aussiLe casse-tête de l'hébergement
Deux principaux sujets alimentent les crispations : le montant de la location du CNTS demandé au comité d'organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques (COJO) et la construction de logements sur le site du centre dont la FFTir est propriétaire. « C'est le bazar total », résume un cadre de la Fédération sous couvert d'anonymat qui dénonce l' « opacité » des réunions fédérales et l'amateurisme du traitement des dossiers.
Une enveloppe jugée « insultante et inacceptable »
Côté location, on prêtait à la FFTir une première intention de facturer la mise à disposition du centre à Paris 2024 moyennant 17 M€, avant de redescendre à 12 M€ et de se voir proposer une enveloppe comprise entre 4,5 et 5,5 M€ par les acteurs des Jeux. De quoi provoquer la stupeur des administrateurs de la fédération, réunis en assemblée générale extraordinaire le 3 septembre, qui ont chahuté le président Michel Baczyk.
« La proposition de 5 M€, très éloignée du montant de 12 M€ voté à l'unanimité par le Comité directeur du 2 juillet 2022, a été jugée insultante et inacceptable », a d'ailleurs écrit le dirigeant à Tony Estanguet, patron de Paris 2024, dans une lettre datée du 8 septembre que nous avons pu consulter. « Je ne vous cache pas ma difficulté face à une AG souveraine qui ne souhaite pas que la FFTri soit traitée de cette façon alors qu'elle apporte la solution à moindre coût à Paris 2024 en pleine impasse sur le dossier », poursuit Michel Bascyk.
lire aussiPourquoi Châteauroux organisera les épreuves de tir aux JO 2024
« On va trouver un accord »
C'est pourtant bien l'enveloppe de 5 M€ qui a été retenue lors du premier comité de pilotage qui a réuni tous les acteurs du dossier, le 23 septembre à Châteauroux et lors d'une nouvelle réunion en comité resserré vendredi dernier. « Sur la partie financière, ils étaient un peu montés au cocotier, il a fallu les faire redescendre », souligne un participant. Plusieurs ligues de la FFTir sont encore vent debout contre cette décision. En pointant une économie de 30 M€ réalisée par Paris 2024 en ne construisant pas d'installations à La Courneuve, ils aimeraient un tiers de cette somme. À l'heure de la révision budgétaire du COJO, au menu du conseil d'administration du 12 décembre, cela semble mission impossible.
« On va trouver un accord », positive Michel Bascyk en soulignant que plusieurs réunions ont eu lieu depuis son courrier. Si « trois ou quatre ligues sont encore très remontées » (comprenez : souhaitent que le COJO débourse davantage pour occuper le CNTS), Michel Bascyk annonce que, d'ici à la prochaine assemblée générale de la Fédération, le 10 décembre, le « bon projet » sera accepté. « Tout le monde a la volonté d'organiser les meilleures épreuves à Châteauroux », assure le dirigeant.
« Après l'augmentation des licences de 14 € il y a quelques années (pour la construction du CNTS), on ne voudrait pas que ça retombe sur la tête des licenciés »
Un dirigeant

Cinq présidents de ligue ont pourtant écrit, lundi, au directeur de cabinet de la ministre des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques pour réclamer des informations et le compte rendu du comité de pilotage du 23 septembre dernier. Avenue de France, siège du ministère, le mot d'ordre est à l'apaisement même si « on reste prudent et vigilant sur le dossier », nous dit-on. L'objectif n'est pas de mettre trop de pression sur la FFTir mais de lui rappeler l'enjeu d'accueillir les épreuves olympiques et paralympiques à l'été 2024 dans un climat serein.
lire aussiL'actu du tir
Car l'autre point chaud qui agite les présidents de ligues est celui de l'hébergement puisqu'il faut trouver 600 lits pour héberger les athlètes et le staff pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques. Le ministère estime que « trois quarts des couchages » sont sécurisés. La fédération a confirmé sa volonté de construire sur le site un hébergement comprenant quatre-vingts à cent chambres, soit cent soixante à deux cents lits, pour un montant de 10 M€.
« Le COJO a un plan B »
En interne, certains s'interrogent sur la capacité à construire un tel hébergement en dix mois, même avec des procédures accélérées, et évoquent le spectre de « l'éléphant blanc » si les chambres n'étaient pas occupées après les Jeux. « Après l'augmentation des licences de 14 € il y a quelques années (pour la construction du CNTS), on ne voudrait pas que ça retombe sur la tête des licenciés », explique un dirigeant qui évalue l'effort demandé entre 6 et 10 euros par licence.
La ville de Châteauroux s'est pour sa part engagée dans la réhabilitation des ailes d'une chapelle désacralisée pour y installer cinquante-trois logements et quatre-vingt-dix athlètes. « Il y a encore d'autres pistes et le COJO a un plan B », estime une source proche du dossier. Des bâtiments éphémères pourraient ainsi être aménagés sur le site du CNTS en cas de besoin. L'automne promet d'être chaud à Châteauroux.

mj75 a écrit:sur le site de Paris 2024 , il est bien précisé que les seules prises en charge des bénévoles concernent les transports sur Paris  (navigo), les repas du midi et les tenues . L'hébergement n'est pas prévu ni organisé par Paris 2024, la donne est claire depuis le début et c'est la même hose à chaque JO. Etre bénévole sur Paris coûtera un peu d'argent .
Extrait site Paris 2024 : En tant que volontaire, suis-je hébergé dans le cadre de ma mission ?

Les frais d’hébergement des volontaires ne seront pas pris en charge par Paris 2024. Il appartiendra à chaque volontaire de trouver, si besoin, une solution d’hébergement pendant les Jeux. Nous veillerons autant que possible à proposer aux volontaires des missions sur des sites situés à proximité de leur domicile ou de leur lieu d’hébergement déclaré lors du dépôt de leur candidature.

seb75 a écrit:
Il ne va pas y avoir beaucoup de volontaires payants

Le prix des chambres d'hôtel à Paris va être multiplié au moins par 3
Ne vaut mieux pas être un volontaire basé en province