Sport-étude

Bonsoir,

Je fais du tir depuis 5 ans ( du CE2 a la 6e puis j'ai recommencer a cette rentrée ( ma rentrée de 4e)J'ai (re)commencer en octobre sans potence et avec tout un équipement (que je n'avais pas auparavant ) et j'ai fait mon premier match pour le concours de mon département sans potence. Et j'ai une moyenne scolaire de 13/20 et en tir je suis plutôt pas mal .. Pour ce concours sur 400 pts j’étaie a 266pts et donc j'ai perdu un niveau pendant ces 2 ans sans tirer .. Est-ce que quelqu'un pourrai me dire si j'aurais mes chances pour intégrer un sport-étude ?
Bonne soirée

Le plus simple pour se renseigner efficacement est de demander directement à l'Académie ou à ton CPE ?

Oui vous avez raison
Mais personnes était dans le même cas que moi et pourrais m'aider ?

Lis éventuellement ceci :
http://www.fftir.org/index.php?FicheNum=3617, ça te donnera des indications, en attendant d'avoir les réponses éventuelles des forumeurs de la fédé...
Perso, je pense que 266/400, c'est sans doute un peu trop léger, mais ça ne veut pas dire que tu ne feras pas beaucoup mieux que ça bientôt, avec plus d'entraînement...

Bonne reprise

Tu dois avoir un minimum de résultats niveau national. Podiums ou places d'honneur.
Concernant les études, ce n'est pas limité aux personnes faisant" S" comme me laissait entendre mon ancien proviseur de collège lorsque j'avais monter mon dossier, du coup après la troisième je n'y suis pas allé et je l'ai intégrer en première en faisant STI, et en etant mieux renseigné.

Un peu tard pour apporter une réponse à ta demande, mais le problème se pose dans mon club actuellement: un minime 2 qui est à 607.5 couché en match et devrait se placer correctement aux France tant à 10m 3 po que debout ou couché. actuellement il est bon élève et en 4°. C'est donc posé l'avenir au niveau tir et 3 hypothèses: on reste comme maintenant avec 3 ou 4 séances de 2h par semaine en entraînement presque particulier et scolarité classique; création d'une section sport étude sur place et c'est le parcours du combattant et là j'attends la réponse des parents d'ici un mois; enfin s'il arrive, entrée en pôle espoir mais franchement ni les parents ni moi-même, son entraîneur ne sommes chauds car cela fait bien jeune pour envisager un déracinement de la famille à 13 ans et quelque. affaire à suivre si cela vous intéresse.

sport étude c'est quoi? intégrés un creps ,si c'est le creps avec 266/400 impossible.
Les jeunes des pôles tourne à 390 mini

Tout d'abord, afin de savoir plus concrètement ce qu'est une section sport-étude, tu peux fouiner sur le site fédéral.
Ensuite, à chaque CDF 10m, tu peux retirer les dossiers de candidatures (c'est annoncé avant sur le site fédéral). En général c'est au mois de mars qu'il y a les tests de sélections (organisés au CREPS de Bordeaux cette année).
Ces tests sont très importants car, s'ils permettent d'évaluer plus précisément le niveau des candidats, ils permettent aussi, grâce à des entretiens de tester leur motivation.

Ensuite, il y a différents niveaux dans les sports études. Ils sont labellisés par le ministère : pôle espoirs, pôle France juniors, pôle France.
La situation du jeune est également importante : quelle caté ? A niveau égal, on privilégiera un cadet 2 ou 3 par rapport à un juniors 2 ou 3 par exemple. Le cursus scolaire est également logiquement pris en compte.

Enfin, il faut savoir aussi que cela a un coût pour les parents du candidat. En fonction des performances des tireurs, la prise en charge de la Fédération est différente.

je remonte un peu ce post, pour exprimer un peut ma déception et pour donner une réponse.Cela fait presque 2 ans qu'ont a bassiné mon fils (pas nous, les parents) pour qu'il rentre au creps vu le niveau de tir qu'il avait. voulant faire un bac pro, son niveau études était moyen mais cela suffisait pour qu'il rentre au mois de septembre dans une classe ou chez un patron. Mais ont attendais la réponse pour un creps et la le résultat ce matin la réponse c'est non et pour d'autres tireurs aussi. Maintenant il se retrouve sans rien et je peux vous dire qu'il est plutôt dégouté de ce qui lui arrive, il pense même a abandonner le tir
les reproches, que font les entreprises, qu'ont a vu, c'est surtout les absences pourtant justifiées, car entre les rencontres inter, les sélections, grand prix etc etc ca n'arrange pas les   choses cela fais pas mal de jours d'absences, Donc déja pour la saison prochaine il ne participeras plus a des compétitions étant encore en classement national, il ne veut plus rien savoir.
Donc faut bien réfléchir, pour rentrer en sport études, gros niveau tir et études sinon ca passe pas.
Voila je crois qu'il y a qu'en France qu'ont vois cela, faut pas s'étonner que des sportifs disparaissent ayant du potentiel.

D'accord avec toi Bagheeras.
Mon gros souci est que l'on entretient beaucoup de faux espoirs et qu'il n'y a actuellement aucune structure intermédiaire entre les pôles et les tireurs club. L'éducation nationale ne propose aucun horaire aménagé permettant un entraînement acceptable sans déraciner l'enfant.
Exemple: vous avez un minime 2 qui accroche régulièrement 560 en point entier en C10m; il y a potentiel mais cela ne suffit pas pour aller en pôle; il faudrait arriver à 3 voire 4 entraînements hebdomadaires. Tout ce que peut éventuellement proposer le collège c'est une possible section UNSS ne dépassant pas 11h par semaine avec obligation de poursuivre les cours de l'enseignement normal; donc pas de dispense en principe pour les compétitions.

Le pire dans tous ca c'est qu'ont lui a juste balancé un sms  ce matin pendant les cours,imagine toi le gamin dans quel état il était. Tout ce que j'éspère, c'est qu'il continue le tir,déja pour l'investissement,pour le club et surtout qu'il  fasse ce sport par plaisir après cette déception.

malheureusement, le tir n’est pas un "métier" d’avenir

il vaut mieux en faire une passion et s’en tenir la, avec toute la liberté de décision sur ce que l’on a envie de faire ou pas

J’ai connu une aventure similaire, ou l’on m’avais promis de bien s’occuper de moi pour progresser efficacement.
Résultat, nada, jamais un conseil. Par dépit, j’ai improvisé en espérant que mon travail paierait, mais avec des mauvais choix, j’ai fini par une énorme contre performance qui a planté le clou et m’a éloignée des stands pendant 10 ans

Mes rêves sont moins ambitieux aujourd’hui, forcément, mais ce sont les miens, et je suis complètement libre de choisir la méthode pour y arriver sans être dépendant de quiconque.

Pour infos ,aucun des jeunes n'intègre Toulouse,car sois disant le tir n'est pas un sport,et toutes les places dans les écoles ont étaient attribuées au foot et au rugby. Voici la réponse qu'ils ont recus